Développer des marqueurs de compétence folliculaire permettant d’identifier les embryons menant à des grossesses de manière non-invasive chez l’humain.  Ce projet a débuté en 2001 et a été financée jusqu’en 2006, bien que des articles scientifiques supplémentaires en découlent encore aujourd’hui, de même que de nouvelles applications cliniques. La première phase de ce projet a permis de développer des outils diagnostiques capables de mesurer une bonne réponse ovarienne, en terme de grossesse, à une stimulation hormonale (afin de ne pas sur-doser). La seconde phase a permis de distinguer pour une même patiente, à l’intérieur d’un même cycle ovulatoire, les ovules ayant le plus de chance de donner un/des embryon (s) transférable(s). La troisième phase a permis prédire parmi les embryons en développement ceux qui ont plus de chances de s’implanter et finalement la quatrième phase décrit les conditions qui expliquent les cas de mauvaise qualité des ovules et donc permettent de caractériser les conditions d’échec pour mieux les éviter.

 

Ces travaux ont fait l’objet de plusieurs conférences, articles de vulgarisation (revues grand public et journaux), entrevues radiophoniques et télévisées au Québec et au Canada. De plus, 3 brevets ont été déposés et une étude clinique internationale est en cours.